alors moi j'ai lu qu'un seul livre de lui,j'espere que d'autres personnes le connaissent aussi
je vous met ce que j'ai trouvé sur l'ecrivain:
né en 1946 à Edimbourg, capitale de l'Ecosse, qu'il vit en ce moment à Cork, au sud de l'Irlande, avec sa femme Wiescka Masterton (elle est polonaise), laquelle est aussi son agent littéraire. Ils ont trois fils. Le pied, quoi ! Son père était officier dans l'armée de terre britannique.
Pour preuve de son talent, je tenais tout de même à citer quelques récompenses qui lui ont été attribuées tout au long de sa carrière. Tout d'abord il y a le « Special Edgar from mystery writers of America » que je traduirais comme l'« Edgar Spécial des écrivains mystérieux d'Amérique » ; ouais, c'est sûr qu'en français ça n'a plus vraiment la même classe, mais bon... Il a aussi gagné la médaille d'argent de « la critique des livres de la côte ouest » (ça doit être une sacrée récompense, même si je ne sais pas à quoi ça correspond exactement). Sinon, en France (voilà qui est déjà plus intéressant), il a reçu le prix « Julia-Verlanger 1988 » pour Le portrait du mal (ce qui est tout à fait justifié étant donné la qualité du roman ; pour moi, résolument un des meilleurs Masterton).
Mais, contrairement à ce que certains pensent, Masterton n'a pas commencé sa carrière en écrivant des romans, eh non. Manitou, son tout premier roman, a été écrit en 1974, il était alors âgé de 28 ans, et avant cela monsieur travaillait comme rédacteur pour le magazine Penthouse ! Etonnant, non ? (Quoi qu'en lisant les scènes cochonnes qui parsèment ses ouvrages...) C'est à cette époque qu'ont été publiés ses premiers livres, qui étaient des guides sexuels, lesquels affichaient des titres du genre How to drive your wife wild in bed (Comment pousser votre femme à devenir sauvage au lit). Masterton explique dans une interview (réalisée en 1996) qu'il s'est mis à écrire des bouquins d'horreur lorsque la vente des guides sexuels a commencé à décliner. Il précise aussi qu'il a vu l'Exorciste pour la première fois durant cette période, et que c'est vraiment à partir de cet instant qu'ont débuté ses écrits d'horreur.
moi j'ai lu que le portrait du mal et je l'ai trouvé terrifiant,il m'a marqué ce bouquin ,c'est gore,en meme temps raffiné,tu rentres totalement dans les histoires et les perso.
resumé du PORTRAIT DU MAL
Quatrième page de couverture: "Ils étaient prêts aux pires atrocités pour conserver l'éternelle jeunesse que leur conférait le portrait maléfique. Un portrait de douze personnages au visage en décomposition... La toile est l'oeuvre d'un certain Waldegrave, ami d'Oscar Wilde et passionné d'occultisme, mais elle est sans valeur et plutôt médiocre. Alors pourquoi la mystérieuse Cordelia Gray veut-elle à tout prix s'en emparer? Quel est le secret du portrait? Qui sont ces douze personnages? Vincent Pearson, l'actuel propriétaire du tableau, découvre un lien entre cette oeuvre démoniaque et une série de meurtres particulièrement abominables qui secouent depuis quelques mois la Nouvelle-Angleterre..."
LA MAISON DE CHAIR (Charnel house, 1978)
Un conte Indien à la sauce actuelle... Le démon Coyote est du genre à aimer s'amuser. L'homme blanc, dans on orgueil galopant, a bafoué les croyances Indiennes et a dispersé le savoir enfoui des hommes-médecine. C'est en notre période de grand scepticisme que Coyote, Le-Premier-A-Utiliser-Des-Mots-Pour-La-Force, refait surface en investissant la maison d'un pauvre type qui n'est pas au courant du lourd passé des objets d'arts. En effet, le heurtoir de sa porte n'est autre que le visage du démon, et il détient la fille-ours, une femme qui fut promise à la malveillante créature. Coyote, revenant par des moyens pour le moins originaux, décide de regagner son pouvoir perdu et se met en quète des cheveux du Grand Monstre... quelques humains désemparés vont tenter de l'en empêcher.
LE JOUR J DU JUGEMENT (The devils of D-Day, 1978)
Plus de trente années après le débarquement des alliés sur les côtes normandes, Dan McCook, un cartographe américain, entreprend à la demande d'un ami, de retracer une carte de la région normande. Ses conversations avec les habitants du coin l'amènent à s'intéresser de près à un char, un Sherman, abandonné sur le bas-côté de la route depuis la fin de la seconde guerre. Dès son approche, d'étranges voix lui intiment de retirer l'imposant crucifix qui entrave l'ouverture de la tourelle... ce qui finit bien sûr par arriver (sinon il n'y aurait pas d'histoire !). Enfin libéré de sa prison, Elmek, le démon des couteaux et des lames acérées (connu aussi sous le doux nom d'Asmorod), n'a qu'un seul but : libérer ses 12 compagnons afin qu'ils invoquent, ensemble, le tout-puissant démon Adramelech. Dan McCook, parviendra-t-il à empêcher cette horde de démons d'invoquer leur maître destructeur ? Et si tel n'est pas le cas, quelles seront les conséquences de cet acte innommable ?
Démences
Démences est certainement l'un des meilleurs romans de GM. on y parle d'un vieil hopital psychiatrique, de sombres rites dérivés des coutumes druidiques et d'une invasion de fous se déplaçant à travers la terre. L'oeuvre m'a inspiré le dessin ci-contre...